24 MAI : DE PABONGAN À NGANJUK
Un peu dur au réveil de trouver ça sur le mur de sa salle de bains. Yaaaark! N'écoutant que mon courage, j'ai étudié le phénomène de près pour découvrir que c'était des petites fourmis qui transportaient une grosse araignée. Mignon, hein?
Enfin une journée sans histoire, à part le brouillard à couper au couteau qui nous est tombé dessus dans la montagne, impressionnant. Quelques belles rencontres aussi, comme souvent quand nous arrêtons dans un Indomaret ou autre...
Lors d'un arrêt rafraîchissements dans un Indomaret (dépanneur), cette gentille dame est venue s'asseoir avec nous pour nous souhaiter la bienvenue en Indonésie et nous jaser. Elle m'a offert une bouteille de thé glacé et voulait nous offrir aussi notre lunch, mais on lui a dit qu'on avait déjà mangé... Évidemment, selfie obligatoire à la fin!
Nous sommes passés par tous les styles de route aujourd’hui, de paysages montagneux avec cultures étagées à grandes plaines couvertes de champs, petites routes tranquilles, grandes routes avec du trafic, grandes routes droites et sans trafic, mais endormantes, c’était génial, on a adoré!
Départ de l'hôtel, on redescend la côte!
Déjà le paysage s'annonce incroyable
Pas de choix de rouler sur le bas-côté quand il y a autant de camions!
La brume s'installe, cachant les cultures en terrasse toujours si belles
Plus de paysage du tout!
La brume est partie, on retrouve les petites routes au milieu des champs...
... et dans la montagne. Attention aux gros véhicules, pas évident de passer!
Chez le premier concessionnaire. On voir ma moto derrière la vitre (sac bleu) et celle de Jacques un peu à droite. Je ne sais pas si c'est parce qu'on des touristes, mais ils entrent toujours nos motos rapidement et travaillent dessus tout de suite!
Le premier a réglé le problème de batterie de Jacques, qui était en fait un problème de fusible qui sautait à cause du klaxon inadéquat sur sa moto (tsé un klaxon d’auto sur une moto, c’est rigolo et ça surprend, mais ça fait sauter les fusibles apparemment). Le mécanicien change donc nos deux klaxons, arrange une couple de bébelles et déclare que ma suspension est brisée, mais qu’il n’aura pas de pièce de rechange avant 2 semaines. Bon.
Évidemment, on n'attendra pas. Comme c’est le deuxième que nous voyons pour les squicks-squicks et que le premier a dit que la suspension était OK, nous allons donc chercher un 3e avis chez un autre concessionnaire tout près de notre hôtel.
Même verdict : suspension brisée, pièce pas disponible, difficile à trouver. Mais selon lui, si je supporte de faire des boings-boings et des squicks-squicks, il n’y a pas de danger à continuer avec une suspension brisée, à part pour l’inconfort. On continue, on verra bien!
Chez le deuxième concessionnaire, on en profite pour faire laver nos motos qui en avaient bien besoin!
On aurait pu attendre et juste les laisser dehors
Notre chambre d'hôtel dans un petit hôtel à 15$ la nuit où il y a tout ce qu'il faut, y compris l'air climatisé (ça, ça faisait longtemps!), mais pas d'évier, faut pas trop en demander.
Souper dans un warung, le Rumah Makan Minang Raya, boeuf rendang (ragoût indonesien) un peu piquant et un pilon de poulet, sans rapport avec la recette, mais ça nous tentait, l'avantage de choisir ce qu'on veut dans ce genre de warung!
Le comptoir où on choisit ce qu'on veut. Seul le riz est gardé au chaud, le reste est froid, surtout à cette heure-là (le Mapaq ferait une crise de bacon s'il voyait ça, vive nos probiotiques!). Bon, j'avoue que ce serait quand même meilleur chaud... La mosquée est juste en face et les chants des fidèles et du muezzin accompagnent notre souper.
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